Elle n’attend rien, elle ne parle pas, elle contemple le fleuve qui s’écoule lentement. Comme je descendais des fleuves impassibles, je ne me sentis plus guidé par les haleurs …. Chaque fois qu’elle contemple une étendue d’eau elle ne peut s’empêcher de se remémorer ces quelques vers trop souvent récités mais pas assez entendus. Elle veut juste prendre le temps de ne rien faire, se mettre un peu sur le coté et laisser les autres continuer leur course effrénée. Un instant, un instant seulement.
Le bateau ivre, Arthur Rimbaud. Photo prise sur le Pont de Iéna, Paris.
Féline Urbaine
décembre 15, 2008
Proie fragile et blessée ou chasseur à l’affut, rien ne différencie l’attitude silencieuse de cette silhouette perdue dans la jungle urbaine, froide et pluvieuse. La fourrure claire illumine et enlace son visage sombre. Même les avertisseurs de la voiture sont au rouge et suggèrent l’intensité dramatique de la scène. Une femme, une rue, la pluie qui ne cesse et la nuit qui tombe. Il ne manque presque rien, juste une petite musique au loin, que je mets alors en route dans ma tête, ce sera Dry your eyes de The Streets. Tout y est maintenant, la vie peut continuer.
Merci à Antoine qui a influencé le choix de ce titre.
Noël : ce que veulent les hommes
décembre 13, 2008Tels les trois mousquetaires, sept blogs masculins se sont réunis, non pas autour de Blanche Neige, mais autour d’une idée, vous proposer une liste d’une vingtaine d’idées cadeaux à tous les prix. Réalisé par okcowboy, buzz2luxe, chroniques du plaisir, James Bort, Le Modalogue, Matérialiste et Very. Bonne lecture, bonne dépense et surtout, Joyeux Noël !
Vous pouvez aussi cliquer ici pour télécharger notre catalogue de plaisirs et désirs dans un format PDF imprimable, à glisser dans votre poche avant de sortir.
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L’ange bleu
décembre 11, 2008
Dimanche soir, 1h du matin, je décide enfin à aller me coucher, quand je vois, écrit sur l’écran de ma tv, Der Blaue Engel, sous-titré en petites lettres jaunes, L’ange bleu. Tout un pan de mon adolescence resurgit, passé à regarder avidement les films de l’expressionnisme allemand des années 30. Je m’assois et me replonge, fasciné, dans les bras de Marlène Dietrich. Au même moment, me revient une photo que j’ai prise l’après-midi même, d’une jeune fille marchant non loin des Champs-Elysées, comme sortie d’un film. Une allure d’une autre époque, d’un autre temps, douce, belle et mystérieuse.
Je vous invite à visiter Darkplanneur, un site sur lequel j’écris des articles et réalise différentes petites contributions et notamment notre rencontre avec Jean-charles de Castelbajac.
Le Petit Chaperon Rouge ne lit pas Elle. Ni Vogue d’ailleurs…
décembre 9, 2008
J’admets qu’à première vue, cette enfant n’a rien du Petit Chaperon Rouge de Charles Perrault (ou des Frères Grimm, pour les puristes), son sac ne semble pas contenir un petit pot de beurre, mais seulement un portable, une trousse à maquillage, des chewing-gum mentholés (au cas où) et un paquet de Marlboro light caché au fond du sac sous l’agenda recouvert de photos de Doisneau. Sa mère-grand prendra peut être les traits rigides d’une belle-mère avec qui les affinités sont quelque peu assombries par des différences de point de vue quant à la vie d’une adolescente de 17 ans. Vous allez croire que je noircis avec ironie le tableau, mais au contraire, je fais l’inverse. Non le Petit chaperon rouge n’a pas rendez-vous à 15h devant le Zara Champs-Elysées, non, elle ne finira pas chez Ladurée à se goinfrer de Macarons au caramel au beurre Salé. Non ! Je vous en prie, laissez moi rêver un peu. Non, elle n’a pas préparé ses 2€30 en petites monnaies, pour acheter le Elle du lundi ! Stop.
Non, je ne suis pas tombé par terre et non, ce n’est pas la faute à Voltaire, mais bel et bien la faute à Willy Ronis, hé oui. Non ! Pas l’acteur. Le photographe. Oui, celui qu’on confond avec Doisneau. Non il n’est pas américain. Français oui, bon j’admets qu’avec un nom comme ça, l’erreur est facile. Pourquoi sa faute ? Parce que je suis plongé dans son livre Ce jour-là, dans lequel il porte un regard, des années après, sur ses propres photos. Et lui, aussi, il s’invente des histoires, se crée des scénarios à partir de ses personnages. Donc ça me rassure un peu, je suis pas le seul à être un peu dérangé.
Pour tous ceux qui aiment la photo, un livre important. Willy Ronis, Ce jour-là, Folio. Prix : Pas cher.
Mama was a Rolling Stone
décembre 8, 2008
Il y a les photos que l’on a envie de montrer et celles que l’on a envie de raconter. Il y a les photos que l’on voudrait exposer au monde entier et celles que l’on garde, cachées des regards, parce qu’elles seraient une fenêtre un peu trop grande sur nous même et notre intimité. Il y a cette photo devant moi d’un jeune homme, les bras croisés, le regard bleu, les lèvres épaisses et la cigarette à la main. L’attitude lascive et fière qui semble poser pour la première fois. Une photo prise il y a plus de 80 ans, celle d’un arrière grand père posant une dernière fois avant de rejoindre les rangs d’une guerre absurde. Il s’appelle Joannès, la photo est jaunie et si on la penche un peu, je crois qu’on pourrait bien s’y refléter.
Des jambes …
décembre 5, 2008
… qui n’en finissent pas.
Bon weekend à toutes et à tous, et à lundi pour de nouvelles photos !
Néo Dandy Vs Claude Lévi-Strauss
décembre 4, 2008
Un bien joli jeu sur la variation des tons de gris, pour ce piéton silencieux. Une petite touche d’humour et de décontraction avec ses chaussures artisanales en cuir, style babouche qui semblent se fondre dans les pavés. On sent poindre le pantalon Zadig & Voltaire, mais nous ne chercherons pas plus loin.
En aparté, il se trouve que c’est les 100 ans de Claude Lévi-Strauss l’anthropologue, ethnologue et philosophe français hein ! Pas la marque de Jeans. Le lire permet de mieux comprendre le monde et les gens qui nous entourent et si l’on travaille dans les métiers de la création et de la communication, ce peut être une aide précieuse. J’ai souvent remarqué dans ces domaines, la nécessité de classifier, segmenter, étiqueter de manière quasi sociologique, ces chers consommateurs. Segmenter et quadriller permettant de mieux cibler, donc de mieux communiquer et donc de mieux vendre, C.Q.F.D. Lévi-Strauss et Séguéla, même combat ? Non, et bien heureusement. Enfin, tout cela pour vous inviter à lire ce grand monsieur, Tristes tropiques, étant une belle porte d’entrée dans son œuvre.
Moncler & Celine style
décembre 3, 2008
Alors résumons. Nous avons là un blouson Moncler, des bottes Celine, un sac dont la marque m’échappe ainsi qu’un bien jolie bonnet. Non, détrompez vous, nous ne sommes pas à Megève près des pistes, mais bien dans les alentours de Montmartre. Mais cette jeune femme, comme le dit la devanture du magasin, est une belle trouvaille, toute parée de couleurs et d’élégance (too much ?) enfantines.
Dimanche pluvieux à Montmartre
décembre 2, 2008
Un dimanche sombre et pluvieux à se promener dans Paris, sans but précis. Regarder les gens, les yeux et les cheveux humides. Regarder Paris un peu trop gris. Par hasard, on se retrouve sur la butte rouge, Montmartre, on y croise des touristes le nez dans leurs guides, cherchant désespérément l’âme des impressionnistes. Peut être croiseront ils Toulouse-Lautrec, Picasso ou encore Van Gogh. Peut être boiront ils un peu d’absinthe avec Pissarro sur une table du Lapin Agille. Ou peut être pas. Peut être que Paris s’accorde parfois un peu trop avec le passé composé.
Caricaturiste, Place du Tertre, Paris.
Accords et désaccord
novembre 30, 2008
Rien à voir avec la comédie de Woody Allen et du guitariste Emmet Ray joué par Sean Penn, mais juste le plaisir de regarder un couple parfaitement complémentaire et assorti. Le dialogue esthétique qui s’installe dans certains couples est surprenant et raconte beaucoup sur les rapports qui s’y jouent. On s’habille, se maquille, se déguise, se pare des atours qui font la mode, on imite ou au contraire on cherche à se distinguer, tout cela pour se sentir libre de jouer le rôle de sa vie. Être soi même, choisir son costume, sa place sur scène, le dialogue que l’on déclamera. Être soi même, pour ne pas mourir du rôle qu’un autre nous a donné.
Streetwear Vs Delacroix
novembre 27, 2008
Le cadre de cette photo me plait bien, on y voit derrière le jeune homme, une ancienne Boulangerie Pâtisserie, reconvertie en magasin de fringues hyper-tendances au design millimétré. Lui, jeune, intimidé peut-être, attend je ne sais quoi, tenant dans les mains un paquet provenant d’une épicerie quelconque. Ses cheveux, longs, bouclés associés à son visage bien structuré m’ont fait penser à un des modèles de Delacroix. Ce décalage entre ses vêtement streets et son attitude m’ont fait sourire. Mon cerveau, et donc mon regard, fonctionnent toujours par associations, je vois quelque chose qui me fait penser à autre chose et ainsi de suite. Ce qui me permet de voir un peu d’Eugène Delacroix dans ce garçon. C’est grave docteur ?
Paris je t’aime, Paris je t’adore
novembre 25, 2008
Parce qu’il ne suffit pas d’avoir 20 ans, de porter du 36 et de s’habiller chez Heimstone pour être superbe de fraicheur. Parce que l’élégance et le style sont intemporels et donc se moquent pas mal de la mode. Quand la personnalité s’affiche et se porte, alors c’est gagné, on est beau.
Instant du quotidien
novembre 24, 2008
Une fois n’est pas coutume, un petit instant du quotidien, le rituel du sèche cheveux qui balaie l’espace et le corps dans une chorégraphie douce et sensuelle. Assis en silence dans un coin de la pièce, je contemple cette danse involontaire.
Lost highway
novembre 22, 2008
J’étais invité hier soir par notre ami Cédric Gorrias de Blogbang qui organisait une soirée pour un certain site internet de marque de chaussures. Le côté complètement surréaliste de la soirée qui m’a plus fait penser à une performance dadaïste qu’à un lancement de marque, m’a beaucoup plu. Après 30 min on est parti manger avec mes amis de l’agence Balistik*art et Darkplanneur et en sortant du resto, qui on a croisé ? Keanu Reeves, très beau et sympa au bras de sa fiancée, on a échangé quelques mots et puis la nuit a continué.
Education à la mode vestimentaire
novembre 20, 2008
Il y a l’éducation aux goûts, aux aliments, l’éducation aux sports, à l’art et bien d’autres domaines encore. Mais j’ai remarqué que dès que l’on parle du rapport entre la mode vestimentaire et les enfants, tout de suite, le sujet devient sensible. L’argument principale est qu’un enfant ne doit pas être une copie modèle réduit d’un adulte, que les vêtements ne doivent pas être une barrière aux jeux et à la liberté de mouvement. Je conviens évidement de tout cela. Le premier argument qui m’est venu à l’esprit et qu’il vaut peut être mieux trop d’attention, que pas assez, qu’un enfant entouré d’attention s’épanouira beaucoup mieux qu’un enfant quelque peu délaissé. Soit, je n’invente rien et j’enfonce des portes ouvertes. Le second, m’est venu après m’être plongé dans l’œuvre de Michel Onfray ainsi que du travail qu’il met en place avec son Université populaire de Caen et l’Université Populaire du Goût à Argentan. L’éducation à la mode est, je pense, du même ressort que les autres champs, tel que le goût, par exemple. D’abord montrer, discuter, échanger mais ne jamais imposer. Visiter un musée, puis rentrer à la maison, dessiner et lire, ou se promener en ville, regarder des vêtements, en acheter ou pas, tout cela est pour ma part du même ressort et même si l’un s’inscrit plus dans un domaine économique et marchand que l’autre.
Précision : ceci est un billet d’humeur et j’ai bien conscience que le traitement que je fais de cette question n’est pas exhaustif et que de nombreux autres paramètres pourraient être soulevés.
Jack Bauer VS Darkplanneur
novembre 19, 2008
Darkplanneur dans une nouvelle aventure mashupienne mis en forme par le génial AMDS. Une vidéo d’une qualité incroyable qui fait le buzz.
Lost in translation
novembre 18, 2008
Jardin des Tuileries, Paris.
Comme un fard dans la nuit
novembre 18, 2008
Cela se passa ce week end lors d’un défilé* haut en couleurs et une fois n’est pas coutume, j’ai utilisé le flash. L’effet rendu m’a plu, le fond disparaissant totalement pour laisser place à cette femme du monde. Nous étions quasiment dans le noir, elle cherchait sa place, j’ai entrevu sa silhouette qui m’a fortement intrigué et je l’ai flashée. Son visage et son allure parlent pour elle, je n’en rajouterai donc pas plus. Bonne semaine à tous.
*Défilé Eric Bompard faisant suite au trophée du même nom.
Dandy Punkette croquant Paris
novembre 14, 2008
En la croisant dans la rue, cela m’a rappelé mes années d’adolescence, assis dans la rue, dans un parc, dans une chambre, à dessiner le monde qui m’entourait et l’appareil toujours à portée de main. Elle se trouvait donc là, accoudée à une voiture, le crayon à la main, le style parfait et dessinant la façade d’un immeuble. Juste ce qu’il faut de chic et de classe mélangés avec un brin de rock attitude. L’addition des bandeaux dans ses cheveux peroxydés avec la veste officier et les richelieux est juste, parfaite. J’aime, tout simplement.
Une femme, un lieu et un objet de luxe.
novembre 12, 2008
Pour introduire ce billet, je reprendrais les mots de Thomas Mondo ; « un voyage en dehors du temps, une découverte de la perfection ultime. » Je vous propose une immersion dans l’univers fantasmagorique de l’artiste créatrice Maï Lamore. Je vous invite à cliquer ci-dessous pour découvrir d’autres photos.
Au temps qui passe
novembre 10, 2008
Puisque la photo « Rose bonbon » semble avoir beaucoup plu, j’en mets une autre de la même série, tout du moins prise au même endroit. « Au temps qui passe », le titre en dit suffisamment long. Merci encore infiniment pour tous vos commentaires qui m’accompagnent chaque jour.
Photo prise rue Clerc, Paris.
Rose bonbon
novembre 9, 2008
Un regard d’enfant suffit parfois à stopper le flux bruyant du monde.
Photo prise rue Clerc, Paris.
Patricia Kaas, Darkplanneur et James Bort sont dans un cabaret.
novembre 7, 2008
Découvrez ci-dessus le Teaser du « Cabinet des Curiosités » avec Patricia Kaas.
Family affair
novembre 5, 2008
Teintes automnales et décontraction affichées pour cette incroyable famille qui foule nonchalamment le pavé parisien. Rien ne dénote, rien ne jure, les couleurs pourraient être celles de la palette de Rembrandt. De la vie, de la couleur et du mouvement, que peut-on demander de plus ?
Poursuite à Beaubourg
novembre 2, 2008
Ce billet résonne comme un hommage aux Filatures parisiennes, de Sophie Calle. Le principe est né d’un hasard, j’ai pris en photo, au bord de la fontaine de Niki de Saint Phalle et Jean Tinguely, une jeune fille rousse dont la silhouette me plut beaucoup. Je la retrouvais par hasard, quelques heures plus tard, dans le centre George Pompidou et je me décidais à la suivre et à la prendre en photo devant des œuvres d’art. Une femme, son regard, son corps, son style errant d’œuvres en œuvres, d’images, images, d’univers en univers.
Gérard FROMANGER, Corps à corps
Gérard GASIOROWSKI, L’ouvreuse, 1965
Daniel SPOERRI, Le repas hongrois, 1963
CESAR, Compression, Ricard, 1962 / Yves KLEIN, Portrait-relief, Arman, 1962
Daniel BUREN, Manifestation
Hervé Télémaque, Fonds d’actualité n°1
Cy TWOMBLY, Thermopylae, 1992
Rocky silence
octobre 30, 2008
S’il n’y avait pas eu cet homme, main sur la bouche, qui précédait cette dandy rockeuse, je crois que je n’aurais pas gardé cette photo, trop sombre, pas assez contrastée. Le discours a surpassé la technique et c’est pour moi le principal. Cela m’amène à penser qu’il y a des personnes qui respirent et transpirent la musique, le son, la rythmique, leurs mouvements sont des vibrations sonores, leurs cheveux donnent la cadence et leurs pas, le flow. Il y d’autres personnes au contraire qui, silencieuses, passent à coté de vous sans que vous n’ayez ressenti quoi que ce soit, ni bruit, ni odeur, ni vibration. Peut-être cela s’appelle t-il le charisme ?
Esplanade de Beaubourg, Paris.
Les trois âges de la vie
octobre 29, 2008« La vie est un vaste théâtre où chacun joue son rôle puis s’en va » Cette phrase est extraite d’une pièce de Shakespeare s’intitulant Comme il vous plaira. C’est pour moi un des textes les plus importants relatant la condition humaine.
J’ai pensé à ce texte en découvrant cette photo que j’ai prise le week-end dernier en me promenant dans le jardin des Tuileries. Sur l’instant, la scène que je venais de prendre en photo ne m’avait pas marqué et c’est seulement en la revoyant plus tard, qu’elle m’a ému profondément. Je m’émeus rarement, mais ça arrive, de mon propre travail et j’ai été ravi d’avoir pris cette petite scenette du théâtre de la vie quotidienne. Au fond, dans la lumière, les deux adolescentes insouciantes, au milieu, le père et son petit enfant qui fait ses premiers pas et au premier plan, la vieille femme fragile au bras de sa fille soucieuse. La vie est belle, parce que fragile et instable.
Blogueuse Addict
octobre 27, 2008
Wow ! Là, il n’y a vraiment rien à redire. Du pur style en toute simplicité, comme j’aime. Aucune faute de goût, plein de nonchalance, une silhouette recherchée mais sans être prise de tête. A n’en pas douter, elle doit être branchée à fond sur les blogs de nos chères blogueuses. On sent l’influence d’une Punky B ou d’une Nizzagirl. Le Perfecto, la frange ainsi que l’inénarrable chemise à carreaux rouges que tout le monde (comprendre un groupuscule de fashion addict) s’arrache.
Quand je me balade dans la rue et que je croise certains styles, je ne peux m’empêcher de me dire que cette fille s’est inspirée de telle blogueuse ou telles autres. J’en viens même à me dire qu’il y a un véritable « Style » Blogeuse, mais je vous détaillerai tout cela dans un prochain billet.
Patricia Kaas dans le Cabinet de Curiosités
octobre 26, 2008
Pour la sortie de son nouvel album Kabaret, Patricia Kaas nous a accordé sa première interview en exclusivité mondiale (Argh ! J’adore utiliser ces termes emphatiques et pompeux à souhait !), pour le Cabinet des Curiosités de mister Darkplanneur (dit Eric Briones, vous le verez dans la suite des photos, maquillé tendance Orange Mécanique). Pour ceux qui aiment ou ceux qui tout simplement seraient curieux, vous pourrez découvrir l’interview de Patricia Kaas chez Darkplanneur d’ici quelques jours. Pour finir je veux faire une spéciale dédicace à Thomas Mondo, La Pravda et mister SerialBuzzer, que j’ai hâte de retrouver mercredi pour la suite des aventures.
Je vous invite à découvrir toutes les photos, en cliquant ci-dessous !