Un petit air de fin de prohibition dans ces silhouettes signées Lanvin, qui me replongent dans l’unique épisode que j’ai vu de la série Boardwalk Empire de Martin Scorsese et avec l’irréel Steve Buscemi. New York est une ville qui a le don d’ubiquité, capable d’être tout et partout à la fois. C’est une scène sur laquelle chacun peut y laisser jouer ses fantasmes et s’y perdre avec délectation.
Loin de toute prohibition, j’écris ce billet depuis la terrasse du Starbucks de Montague Street à Brooklyn, un café Mocha à la main. Je regarde le temps et les gens passer. Mais il n’y a qu’à fermer les yeux ne serait-ce qu’une seconde, pour que les silhouettes de mes photos prennent vie et s’engouffrent dans une Cadillac 341 sous les hurlements des sirènes et d’une pluie de balles. Le point commun entre New York et l’imagination, c’est que tout y est permis.
Merci à vous !
No Comments
Bonjour,
De beaux portraits en Noirs&Blancs J’ Adore !!!
Et cette phrase aussi 😉
« Le point commun entre New York et l’imagination, c’est que tout y est permis. »
Bonne continuation.
Ta vision de New York est vraie, cette ville est imaginaire, telle une immense et durable hallucination. Nous avons longuement songé déménager, mais aucune ville n’a eu nos faveurs hormis New York, le temps y est en suspend, entre tumulte et calme plat…
Série B&W très intéressante, les regards n’en sont que plus expressifs.
[…] certain to revisit James Bort – generally if your French is improved than […]
[…] sure to visit James Bort – especially if your French is better than […]
[…] certain to revisit James Bort – generally if your French is improved than […]