Tous les quais de gares ne me font pas penser aux films d’Elia Kazan, mais aujourd’hui, en attendant le train, je m’y suis cru un peu. Ce garçon pris en photo, miroir inversé d’un Marlon Brando fantasmé, a fait dérouler devant mes yeux, la bobine usée du film, comme projetée dans un vieux ciné-club du Quartier Latin. Seul dans la salle qui sent l’humidité, je m’assoie dans un des trente sièges qui n’attendent que moi et personne d’autre. La lumière s’éteint, j’ouvre les yeux et c’est parti.
5 Comments
super belle cette photo 🙂
j’adore !
Coucou merci de ton com sur mon blog. Je découvre le tiens bien sympa aussi.
Tu es dont officiellement tagué dans mes favoris (voir sur la droite de mon blog « Mes blog chouchou »
A bientôt
Charly
Je te renvoie donc le beau geste en te « taguant » dans mes favoris. Merci Charly.
Très belle photo. Mais tu sais quoi ? Je préférais le t-shirt de Marlon 😉
j’adore cette photo et les paroles que tu écris.